La nouvelle version de la petite sirène est sortie en salle. Alors qu’avons nous pensé de la sirène la plus célèbre de l’occident, Sébastien, Triton et Polochon.
Apparue en 1989 dans les salles obscures pour entrer dans le coeur du public, Ariel s’est hissée au rang de personnage sacré. Ce dessin animé culte est une œuvre destinée à tous mais saura rappeler les souvenirs des plus grands. Aujourd’hui, elle est remise en avant avec une œuvre revisitée, ayant toujours pour but de faire rêver.
Lors de projection presse, ce que l’on a pu voir c’est l’émerveillement sur les visages de ces journalistes touchés par la nostalgie en sortant de la salle.
Halle Bailey mérite son rôle, et elle lui fait honneur.
En plus d’être une chanteuse reconnue, la jeune américaine est une actrice déjà établie (Vous pouvez déjà la voir dans la série Grown-ish).
Ce que beaucoup ne savent pas, c’est que Disney a travaillé à rendre l’univers de la petite sirène cohérent. En adéquation avec l’époque à laquelle se passe l’histoire. 1830, période d’écriture de l’histoire originale d’Hans Christian Andersen. Et si la localisation était vague et le restait pour 1989, la version 2023 est plus précise. L’histoire se déroule sur une île dans les Caraïbes. Sept mers, Sept princesses. On vous laisse connecter les points.
L’absence de contexte de l’œuvre original représente un véritable défi mais aussi terrain de jeu pour la créativité. Que ce soit au niveau de la population que peut rencontrer Ariel comme la direction artistique du château royal, rien ne tient au hasard.
Les changements apportés ont une profondeur, un sens et apportent une lumière nouvelle sur l’histoire de la petite sirène sans pour autant raconter une tout autre histoire. C’est très fort.
Cette version live-action de La Petite Sirène nous replonge ainsi avec nostalgie « sous l’océan ». On ne peut qu’avoir envie de le voir (et revoir) en famille ou entre amis pour chanter les chansons de notre enfance et en découvrir de toutes nouvelles !