Le collectif « Y a quoi le 10 mai ? » célébrait la commémoration de l’abolition de l’esclavage. Un point de vue festif, commémoratif, mais surtout identitaire. Une commémoration respectueuse de l’importance de cette journée spéciale.
Le vendredi 13 mai, à la Bellevilloise, le collectif « Y a quoi le 10 mai ? » célébrait l’abolition de l’esclavage en grandes pompes. A l’ombre de la commémoration officielle, l’équipe offrait une approche populaire et plus juste de cette journée de devoir de mémoire. Intellectuels et curieux étaient conviés à échanger, à s’exprimer et à communier.
Cette deuxième édition fut un succès, notamment grâce à des invités de qualité. L’historienne Maboula Soumahoro, l’enseignante Jhalyssa Sekhmet, l’auteur Bakary Sakho. Pour ne citer qu’eux. « Y’a quoi le 10 mai ? », c’est une journée chaleureuse et animée par une équipe de jeunes étudiants dynamiques, dirigée par Aicha Diaby. Une initiative pertinente et à encourager.